sabato 30 aprile 2011

Regierungsberater tritt unter Tränen zurück

FAZ.NET, 30. April 2011

Fukushima

Regierungsberater tritt unter Tränen zurück

Der Atomberater der japanischen Regierung ist aus Protest zurückgetreten: Japan habe den Grenzwert von 20 Millisievert pro Jahr für Grundschulen viel zu hoch angesetzt.

Rücktritt unter Tränen: Regierungsberater Toshiko Kosako legt sein Amt niederRücktritt unter Tränen: Regierungsberater Toshiko Kosako legt sein Amt nieder

30. April 2011

Die Kritik am Krisenmanagement der japanischen Regierung nach der Havarie im Atomkomplex Fukushima-Daiichi hat sich drastisch verschärft. Das geht aus einer am Samstag veröffentlichten Umfrage der japanischen Nachrichtenagentur Kyodo hervor. Demnach sind vor allem die Zustimmungswerte von Ministerpräsident Kan an einem Tiefpunkt angelangt. So sind 76 Prozent der Befragten der Ansicht, dass Kan beim Umgang mit der Dreifachkatastrophe aus Erdbeben, Tsunami und Reaktorunfall unzureichende Führungsqualitäten gezeigt habe. Im März hatten sich noch 63,7 Prozent unzufrieden geäußert. Außerdem sprachen sich 23,6 Prozent der Befragten für einen sofortigen Rücktritt Kans aus, während es im Vormonat noch 13,8 Prozent gewesen waren.

Regierungsberater tritt zurück

Aus Protest gegen seiner Ansicht nach zu hoch angesetzte Grenzwerte nach der Atomkatastrophe von Fukushima erklärte unterdessen Regierungsberater Toshiso Kosako seinen Rücktritt. Er könne es nicht vertreten, dass die Regierung den unangemessenen Grenzwert von 20 Millisievert pro Jahr für Grundschulen in der Nähe von Fukushima festgesetzt habe, erklärte Kosak am Freitagabend. Der Professor für atomare Strahlung an der Universität Tokio war im März von Ministerpräsident Kan als Berater ernannt worden.

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Regierungsberater genießen in Japan großen Respekt. Es kommt äußerst selten vor, dass Wissenschaftler ihren Beraterposten aus Protest gegen die Regierungspolitik räumen. „Ich kann das als Wissenschaftler nicht zulassen“, sagte Kosako während einer tränenreichen Pressekonferenz am Freitagabend. „Es erscheint mir, als ziele die Reaktion der Regierung lediglich darauf ab, sich Zeit zu verschaffen.“ Kosako habe auch mangelnde Transparenz bei der Strahlungsmessung rund um den Meiler und die Anhebung der Grenzwerte für Arbeiter in der Anlage kritisiert, berichtete die japanische Nachrichtenagentur Kyodo.

Ministerpräsident Kan verteidigte hingegen das Krisenmanagement seiner Regierung. „Wir begrüßen unterschiedliche Sichtweisen unter unseren Beratern“, sagte er am Samstag im Parlament. Die Betreiberfirma Tepco gab am Samstag bekannt, dass neue Messungen bei zwei erkrankten Arbeitern erhöhte Strahlenwerte von jeweils 240,8 und 226,6 Millisievert ergeben hätten. Die Werte entsprechen damit nahezu dem während der Atomkrise festgesetzten Grenzwert von 250 Millisievert. Die beiden Angestellten waren im vergangenen Monat vorübergehend in einem Krankenhaus behandelt worden, nachdem sie bei Arbeiten im havarierten Atomkraftwerk radioaktiv verseuchtem Wasser ausgesetzt gewesen waren.

1000 Demonstranten bei Kundgebung in Tokio

Unterdessen versammelten sich am Samstag rund 1.000 Demonstranten im Yoyogi Park in Tokio. Sie schlugen Trommeln und skandierten Parolen gegen die Atomkraft. „Elektrizität in Tokio - Opfer in Fukushima“ war auf einem Transparent zu lesen. „Ich wusste immer, dass Atomkraft gefährlich ist“, sagte eine der Demonstrantinnen, Yoshiko Nakamura. „Das ist eine gute Möglichkeit, meine Ängste zu äußern.“ Das japanische Unterhaus billigte am Samstag außerdem ein Hilfspaket in Höhe von vier Billionen Yen (33 Milliarden Euro) zur Finanzierung der Wiederaufbauarbeiten in den vom verheerenden Tsunami betroffenen Gebieten. Regierungsvertretern zufolge könnte es sich bei den Finanzhilfen um eine erste Tranche eines Fonds für den Wiederaufbau handeln. Es wurde erwartet, dass in der kommenden Woche auch das Oberhaus den Plänen zustimmt.

Text: FAZ.NET mit dapd
Bildmaterial: dapd

Contamination radioactive de la chaîne alimentaire

Fukushima/2012: Contamination radioactive de la chaîne alimentaire planétaire

http://www.kokopelli-blog.org/?p=375

En août 1945, alors que le Japon s’était militairement effondré, la mafia globaliste des prédateurs militaro-industriels initia la 3 ème guerre mondiale en détruisant les vies de centaines de milliers de civils Japonais en l’espace de quelques secondes. Les deux bombes atomiques, lâchées sur Hiroshima et Nagasaki, annonçaient une guerre totale et génocidaire à l’encontre de l’humanité entière avec la radioactivité comme arme de destruction massive. Le désastre nucléaire de Fukushima-Daiichi constitue une crise aiguë dans cet empoisonnement radioactif chronique de l’espèce humaine, et de toute la biosphère, qui perdure depuis 66 ans.

Aujourd’hui, sept semaines après le tsunami du 11 mars 2011, la situation des réacteurs de la centrale nucléaire de Fukushima-Daiichi se dégrade inexorablement. Le 28 avril, TEPCO annonçait que la radioactivité ambiante était de l’ordre de 1220 millisievert/heure, ce qui correspond à quasiment 10 millions de fois la dose radioactive artificielle admissible en France (1 millisievert/année). TEPCO, réputé pour ses mensonges outranciers depuis le début de la crise, commence à préparer le monde entier à l’éventualité, plus que probable, de son incapacité à contrôler cette catastrophe nucléaire en 9 mois, ainsi que son carnet de route le stipulait. Certains réacteurs sont en fusion totale (et ce, depuis le premier jour), les fuites sont permanentes, les risques d’explosion sont plus que plausibles, etc, etc. Alors que les émissions d’isotopes de césium 137, de strontium 90, d’iode 131, de plutonium 239… contaminent en permanence l’atmosphère et l’océan, la presse Occidentale, aux ordres de la mafia globaliste, qualifie la situation de stable, ou d’ailleurs ne la qualifie plutôt pas, afin de ne pas paniquer les foules et surtout de ne pas courroucer le gang nucléaire. La situation est effectivement stable: la pollution radioactive de Fukushima pourrait durer de longues années à moins que de nouvelles explosions catastrophiques lui confèrent une tournure beaucoup plus abrupte. Le nord du Japon aurait déjà dû être évacué. A quand l’évacuation de Tokyo et de la totalité du Japon?

Aux USA, le plutonium 238 et le plutonium 239 sont apparus à partir du 18 mars: en Californie et à Hawaï, ils furent respectivement 43 fois et 11 fois plus élevés que le niveau maximal répertorié durant les 20 dernières années. En mars, l’eau de boisson de San Francisco contenait 181 fois la dose admissible d’iode 131. Le 4 avril, l’eau de pluie de Boise dans l’Idaho contenait 80 fois la dose admissible d’iode 131 ainsi que du césium 137. En début avril, le taux de césium 137 dans les sols, près de Reno dans le Nevada, était 30 fois supérieur à la dose admissible. Egalement en avril, on a retrouvé dans de très nombreuses régions des USA, du césium 134, du strontium 89, du strontium 90 et même de l’américium et du curium. Tous ces isotopes radioactifs se sont également déposés en Europe et si on ne les trouve pas, c’est qu’on ne les cherche pas.

Avant la fin de l’année 2011, tous les sols de la planète seront inexorablement contaminés par l’irradiation quotidienne et permanente des réacteurs de Fukushima. Il en sera de même pour les océans et les nappes phréatiques. C’est alors que les isotopes radioactifs de Fukushima vont entamer un long processus de bioaccumulation en remontant les divers échelons de la chaîne alimentaire. En 2012, la totalité de la chaîne alimentaire planétaire sera radioactive et donc hyper-toxique pour la santé humaine.

Mais pas de panique! L’alimentation humaine est déjà issue d’un environnement éminemment toxique et l’agriculture chimique moderne constitue, intrinsèquement, une arme de destruction massive de par sa capacité à produire, en masse, des aliments hautement empoisonnés. La mafia globaliste adore la diversité, surtout la nécro-diversité des stratégies d’empoisonnement de l’humanité et de la biosphère. La sainte trinité de leur théologie de l’annihilation se décline comme suit: Cancer, Mutation, Stérilité ou, selon la terminologie usitée dans les nombreux ouvrages du Professeur cancérologue – et lanceur d’alerte - Dominique Belpomme, des pathologies CMR, à savoir Cancérigènes, Mutagènes et Repro-toxiques.

La troisième guerre mondiale nucléaire, lancée en 1945, s’est dotée de tout un arsenal d’armes génocidaires:

- Des réacteurs nucléaires. Ils sont au nombre de 1450 et leur finalité première n’est pas de produire de l’énergie “civile” mais bien plutôt de produire du plutonium à usage militaire. On sait pertinemment, depuis les années 70, que la filière nucléaire n’est pas rentable: elle consomme plus d’énergie qu’elle n’en produit et la facture n’inclut évidemment pas les centaines de milliards de dollars, ou d’euros, liés à la gestion des accidents et des pathologies permanentes qu’elle génère. La finalité primordiale des centrales nucléaires, dans le monde entier, est de produire du plutonium et de l’uranium appauvri à des fins de destruction humaine. (Nous renvoyons les lecteurs à un rapport de la CIA, récemment présenté sur le site de Next-up, qui met parfaitement en exergue les triangulations “au plutonium” entre la France (EDF, Cogema/Areva, CEA), le Japon et les USA. Toutes les centrales nucléaires émettent en permanence de la radioactivité: en termes techniques, elles fuient. De nombreuses études le prouvent. Il n’est que d’étudier la carte des régions où le cancer du sein et le diabète prévalent aux USA: ces régions se situent toutes dans un rayon de 150 km autour d’une centrale nucléaire. Une telle étude comparative serait impossible en France pour la bonne raison qu’il n’existe pas de région qui ne soit pas sous les fuites (et donc sous la déflagration-détonation potentielle) d’une centrale nucléaire! La France est le pays le plus nucléarisé au monde grâce à une entente parfaite entre tous les gouvernements qui se sont succédés (de toutes couleurs politiques confondues) depuis 1956 et le gang nucléaire (EDF, Cogema/Areva, CEA).

- Des déchets radioactifs. Jusqu’en 1982, ce sont “officiellement” 100 000 tonnes environ qui furent plongées, dans des containers en béton, au plus profond des océans. Mais, en fait, pas si profondément dans la mesure où certains réapparurent, au gré du tsunami de 2006 en Indonésie, pour venir s’échouer sur les côtes de la Somalie, provoquant la mort rapide des pécheurs de ce pays. Quel est l’impact des déchets radioactifs sur la vie marine de la planète Terre? Ni vu, ni connu. Depuis une trentaine d’années, les déchets radioactifs sont “retraités”: mais que l’on se rassure, les fonds de pension nucléaires n’ont pas été engloutis dans le plus grand hold-up financier de l’histoire humaine qui prévaut depuis 2008. Les déchets radioactifs jouissent d’une retraite prospère et paisible dans des ogives nucléaires (il en existe encore quelques dizaines de milliers dans l’air, dans les mers et sur terre), dans le combustible MOX (contenant 7 % de plutonium) des centrales nucléaires de France et du Japon; parfois, ils se baladent sur les routes de l’Europe et parfois même encore ils se prélassent dans des piscines sur les terrasses de certains réacteurs nucléaires. En attendant la Vague!

- Les bombes à “uranium appauvri”. Elles sont qualifiées de “bombes sales des riches” par Paolo Scampa. Contrairement à ce que la sémantique pourrait laisser entendre, elles constituent des armes terrifiantes de destruction massive. L’opération “humanitaire” en Libye, orchestrée par l’OTAN et les USA – et dont la finalité est de voler le pétrole, l’or et les ressources financières du peuple Libyen (et de déstabiliser la zone) – a déjà lâché des milliers de bombes à uranium appauvri, dites de quatrième génération, sur le territoire Libyen. Les bombes à uranium appauvri ont été utilisées pour la première fois par Israël dans la guerre du Kippour (octobre 1973) contre l’Egypte. Elles furent ensuite utilisées au Liban, par Israël, et en ex-Yougoslavie, en Irak, en Afghanistan et en Libye par les USA et diverses “coalitions” Occidentales. Elles furent également utilisées par Israël à Gaza (enquête de l’association ACDN). Les bombes à uranium appauvri génèrent cancers, mutations et stérilités dans ces pays-mêmes ou chez les militaires participant aux opérations humanitaires. Ainsi, aux USA, une étude a porté sur 631 174 militaires vétérans de l’Irak: 87 590 souffrent de pathologies musculaires et osseuses, 73 154 souffrent de pathologies mentales, 67 743 souffrent de pathologies indéfinissables, 63 002 souffrent de pathologies gastro-intestinales, 61 524 souffrent de pathologies neuronales, etc, etc. Nous convions tous les promoteurs de l’atome civil et nucléaire à consulter les sites internet présentant des photos d’enfants difformes (et c’est un euphémisme) nés en Irak, en Afghanistan, à la suite des guerres humanitaires et libératrices, ou en Ukraine, à la suite de Tchernobyl. Les bombes à “uranium appauvri” libèrent des isotopes dont la demie-durée de vie est de 2,5 milliards d’années, c’est à dire qu’il en subsistera encore dans 24 milliards d’années.

- Les “essais” nucléaires. Contrairement à ce que la sémantique pourrait laisser entendre, ce sont des explosions en bonne et due forme. Depuis 1945, il y en a eu plus de 2050 dans l’atmosphère et dans le sol. La plus grosse fut de création Russe et sa puissance fut de plus de 3000 fois celle d’Hiroshima. En 1963, voyant que le Président John Kennedy souhaitait faire voter une loi interdisant ces essais atomiques dans la Nature, la clique militariste US en fit exploser 250 en une seule année, à savoir presqu’un par jour.

- L’agriculture moderne chimique. Cette agriculture recouvre la quasi totalité des pays Occidentaux et une grande partie des pays dits émergents ou en voie d’occidentalisation. Elle utilise des fertilisants de synthèse et toute une panoplie d’armes de guerre – les pesticides – destinées à lutter contre les champignons, les herbes, les insectes, les nématodes, etc, et qui sont qualifiées de fongicides, d’herbicides, d’insecticides, de nématocides, etc. Cette agriculture de guerre, ou agriculture mortifère, produit des aliments-poisons qui génèrent une pléthore de pathologies cancérigènes, mutagènes et repro-toxiques. D’ailleurs, un agronome a autrefois comparé les fertilisants agricoles, de la chimie de synthèse, à des mini bombes atomiques à usage agricole – ou plutôt, sous couvert d’usage agricole, à but génocidaire. L’agriculture moderne chimique a également recours à des semences modifiées génétiquement par Monsanto, et autres multinationales criminelles. Ces semences chimériques, et les récoltes qui en sont issues, peuvent également être considérées comme de mini-bombes qui sèment le chaos dans l’organisme humain et animal ainsi que de nombreuses études récentes l’ont prouvé.

- L’industrie chimique. En sus de produire des cocktails de poisons pour la “paysannerie”, cette industrie a créé des dizaines et des dizaines de milliers de produits chimiques dont la majorité, pour employer l’expression consacrée, sont de véritables bombes. Certains de ces produits chimiques possèdent des appellations diverses et variées: vaccins, remèdes allopathiques, adjuvants alimentaires, sucres de synthèse, etc, etc.

- Les technologies de la communication, de la prévention médicale et de la “lutte anti-terroriste”. Dans ce fourre-tout high-tech, nous pourrions mentionner la téléphonie mobile de troisième et de quatrième générations, les systèmes WIFI, les radioscopies à usage médical, les body-scanners dans les aéroports, etc. Nous renvoyons le lecteur à une étude récente du Suisse Daniel Favre sur les pathologies des abeilles issues des interférences électromagnétiques de la téléphonie.

Pour résumer cette situation génocidaire, les psychopathes déments et criminels ont recours à deux types d’opérations spéciales pour détruire le génome humain et éradiquer une grande partie de l’espèce humaine. La première consiste à générer de la contamination radioactive directe par le biais de technologies nucléaires: essais nucléaires dans l’atmosphère et dans le sol, réacteurs nucléaires civils, réacteurs nucléaires militaires pour la recherche et la production de plutonium, bombes à uranium appauvri et non-gestion des déchets radio-actifs. La seconde consiste à ruiner le système immunitaire par une contamination radioactive indirecte, sournoise et quotidienne: aliments-poisons, vaccins, remèdes allopathiques, téléphonie mobile, etc, etc.

Et pour couronner le tout, le Codex Alimentarius, créé en décembre 1961 sous l’égide de l’OMS et de la FAO, constitue la cerise, haute en couleur mais létale, sur le gros gâteau nucléaire. On ne peut qu’admirer le raffinement de la stratégie de la mafia globaliste: depuis 1945, le complexe militaro-industriel détruit l’humanité et la biosphère tout en mettant en place une organisation internationale, le Codex Alimentarius, qui est supposée protéger les peuples. Et que fait le Codex Alimentarius pour protéger les peuples: il prend ses ordres des multinationales biocidaires pour imposer les semences chimériques, les fertilisants de synthèse, les pesticides, etc, et pour imposer, à terme, “l’irradiation” (radioactive) de tous les aliments!

Répétons, une nouvelle fois, que le Codex Alimentarius dépend de l’OMS, une branche du machin Onusien, qui pourrait tout autant s’appeler l’Organisation pour les Mutations et la Stérilité. Rappelons que les mafieux de l’OMS ont signé un traité secret de non-agressivité, en 1959, avec les mafieux de l’AIEA (Agence Internationale de l’Energie Atomique). La capacité de nuire de l’AIEA est grandissime. Ces criminels osent encore parler de quelques dizaines de décès, ou au plus de quelques milliers, à la suite de Tchernobyl, alors que le rapport de l’Académie Nationale des Sciences, paru aux USA en novembre 2009, affirme qu’entre 1986 et 2004, ce sont 950 000 personnes qui sont décédées, dans le monde, des suites de la catastrophe nucléaire de Tchernobyl. Et nous sommes en 2011.

L’imposition inexorable du Codex Alimentarius, depuis 1961, va aboutir, à très court terme (c’est demain) à la suppression pure et simple de tous les compléments alimentaires et de toutes les plantes médicinales qui permettent à l’humanité de se protéger, ou de se soigner, des effets destructeurs de la radioactivité ou de toute autre forme de pollution agricole, médicale ou industrielle. L’interdiction de ces substances entraînera, faut-il le préciser, la suppression de la majorité des alternatives médicales, et c’est bien sûr ce que souhaite l’OMS totalitaire qui tente, depuis des dizaines d’années, de criminaliser toutes ces thérapies dites alternatives. L’OMS préfère promouvoir, pour traiter le cancer qui est devenu “épidémique”, la chimiothérapie et la radioactivité: on vit une époque formidable.

La boucle est bouclée. La mafia globaliste empoisonne l’humanité et, par le biais du Nécro-Codex Alimentarius, l’empêche de se soigner avec des thérapies alternatives et naturelles. Cela fait de nombreuses années que nous avons lancé l’alarme mais cela roupille dans les chaumières. Le Canada a déjà fait passer son décret C 51. Deux états des USA viennent de faire passer des lois criminalisant toutes les thérapies alternatives. La semaine passée, dans l’Oregon, la FDA (le Ministère de l’agriculture et de la santé aux USA) a lancé un raid, protégé sur ses arrières par 80 policiers lourdement armés, sur une petite société en activités depuis plus de 20 ans, Maxam Nutraceutics, produisant des “compléments alimentaires” pour soigner l’autisme (devenu endémique aux USA et en Europe grâce à la pollution radioactive et aux vaccins au mercure). Quant à l’Union Européenne, fidèle à ses fondement totalitaires et anti-démocratiques, elle se moque éperdument des peuples et roule pour les multinationales et le gang nucléaire: sous peu, elle aura fait passer à la trappe tous les compléments alimentaires et toutes les plantes médicinales, de même que toutes les préparations naturelles utilisées par les techniques d’agro-écologie. Et c’est cette même Union Européenne qui vient de multiplier les doses admissibles de radioactivité, dans les aliments, de 20 fois sous prétexte qu’il vaut mieux consommer des aliments radioactifs plutôt que de faire face à des pénuries alimentaires.

Le seuil minimal de radioactivité est une vaste escroquerie scientifique. Rappelons que, selon les experts en endocrinologie, il n’existe pas de dose minimale de contamination radioactive et que, de plus, les contaminations provoquées par de faibles doses sont souvent plus destructrices, pour le foetus humain, que les contaminations provoquées par de fortes doses.

Que faire? Dans un premier temps, mettre en place des techniques de décontamination des sols. Après Tchernobyl, il était interdit de vendre des fromages en Autriche; cependant, on s’aperçut rapidement que les fromages produits par des agriculteurs bios utilisant, depuis de nombreuses années, des apports de roches volcaniques (les zéolites) étaient strictement exempts de radioactivité. En effet, toutes les roches volcaniques de la famille des zéolites sont réputées pour leur capacité de bloquer les métaux lourds et les particules radioactives. Le futur de l’humanité passera par l’agriculture écologique. En effet, la première ligne de défense, à l’encontre des métaux lourds et de la radioactivité, c’est une vie microbienne prospère dans les sols et la présence d’humus et d’oligoéléments indispensables à la nutrition harmonieuse des plantes. Cette première ligne de défense est strictement absente dans la majorité des sols Européens qui sont morts, stérilisés, oxydés et dont les produits alimentaires ne font que générer, dans le corps humain, des radicaux libres facteurs de dégénérescence.

Il existe également des techniques de décontamination ayant recours à des champignons ou à des plantes pour “fixer” la radioactivité. Il n’est pas aisé de transformer un jardin ou un champ en champignonnière mais, par contre, il est beaucoup plus facile d’y planter des espèces végétales telles que le tournesol et le chanvre/cannabis. Certaines études ont mis en valeur que ces deux espèces végétales avaient été utilisées avec succès à la suite du désastre de Tchernobyl. La question reste de savoir comment recycler les plantes de décontamination. On pourrait proposer d’en organiser des collectes qui seraient expédiées vers l’Elysée ou vers les sièges d’EDF ou d’Areva. Le grand avantage du chanvre/cannabis, en tant que plante décontaminante, c’est qu’il permet aussi de confectionner des cordages très solides!

Car franchement, les peuples de la Terre en auront bien besoin de ces cordes le jour où ils érigeront des Tribunaux Planétaires pour juger tous les psychopathes et sociopathes, et les crapules en tous genres, qui ont transformé cette belle planète en une poubelle toxique et radioactive.

En effet, la première phase de décontamination serait, en toute logique, une phase de décontamination du tissu social car il ne sert à rien de décontaminer la biosphère si les prédateurs militaro-industriels continuent de l’empoisonner avec entrain. La décontamination du tissu social est un impératif urgent si l’on veut aider l’espèce humaine à passer le cap de cette extinction présente. Les prédateurs militaro-industriels doivent être neutralisés par tous les moyens imaginables. C’est alors qu’il sera possible de stopper toutes les centrales nucléaires, d’interdire l’agriculture chimique, de condamner toutes les multinationales biocidaires, d’éliminer toute la presse globaliste, de mettre fin au hold-up financier…

En bref, il nous faut promouvoir une insoumission totale aux Autorités qui fonctionnent dans un vide intégral d’autorité morale et spirituelle, le Nouvel Ordre Mondial. Lorsque leurs valets d’Etat seront neutralisés, les multinationales s’effondreront car elles ne subsistent que grâce à la corruption généralisée.

C’est cette corruption qui permet à TEPCO, au gouvernement Japonais et aux diverses Autorités Occidentales de mentir effrontément en prétendant que la situation à Fukushima est stabilisée et qu’il n’existe aucun danger radioactif pour les peuples de la planète qui sont maintenus, de force, dans l’ignorance la plus crasse. En France, qu’en est-il des ONGs auto-déclarées anti-nucléaires? Le Réseau Sortir du Nucléaire renvoie ses lecteurs vers le New-York Times pour des infos sur le statut des “réacteurs endommagés” de Fukushima. Soyons sérieux, les réacteurs ne sont pas endommagés, ils sont détruits et il serait plus authentique d’orienter les lecteurs anglophones vers des blogs dédiés à cette problématique plutôt que vers la grande presse US. On en viendrait presque à se demander pour qui roule le Réseau Sortir du Nucléaire depuis qu’ils en ont éjecté Stephan Lhomme qui vient de créer son propre Observatoire du Nucléaire. Quant à Greenpeace, les platitudes, sur son site, concernant Fukushima, sont pathétiques: la transcription des communiqués du gouvernement Japonais ne constitue pas de l’information, c’est de l’intox. Rappelons que Greenpeace, tout autant que le Réseau Sortir du Nucléaire, ont cautionné l’immense farce du Grenelle de l’Environnement, ce qui est déjà tout un non-programme nucléaire!

C’est en fait l’Association Next-up qui tente le plus sérieusement de présenter des informations, au jour le jour, en France. Nous conseillons aux lecteurs, également, le site de Jean-Pierre Petit dont les dossiers techniques et scientifiques sont toujours magnifiquement étayés. Quant à la Criirad, elle n’a pas présenté de nouvelles récentes depuis son communiqué du 12 avril. On conçoit aisément qu’il n’est pas facile pour de petites associations, sans moyens financiers, de tenter de percer le mur opaque du secret qui a été érigé autour de la centrale nucléaire de Fukushima-Daiichi: ce n’est pas un sarcophage de béton qui a été érigé autour des réacteurs de Fukushima, c’est un sarcophage quasi-impénétrable de mensonges et d’intox. Qui a évoqué la forte probabilité qu’une explosion nucléaire, et non pas une explosion à l’hydrogène, a eu lieu dans le réacteur 3? Personne à part quelques physicienss ou ingénieurs nucléaires qui ne pratiquent pas la langue de bois: Leuren Moret, Arnie Gunderson, Chris Busby… Et aujourd’hui, 29 avril, le professeur Toshiso Kosako, mandaté par le gouvernement Japonais le 16 mars en tant que conseiller spécial nucléaire, vient d’annoncer sa démission, les larmes aux yeux, parce que, dit-il, «le premier ministre a ignoré les lois». Mais peut-être ne les connait-il pas lui-même?

La finalité de ce court article n’est pas de fomenter la peur ou la dépression: elle est de promouvoir la mise en place de techniques de dépollution et d’encourager les peuples à déclarer ouverte la chasse aux prédateurs militaro-industriels, la source toxique de tous leurs maux.

La crise de Fukushima, et la contamination subséquente de l’intégralité de la chaîne alimentaire planétaire, constituent une nouvelle invitation à oeuvrer en co-évolution avec la Terre-Mère. Il ne reste que peu de temps.

Dominique Guillet. Le 29 avril 2011.

Depuis 1999, l’Association Kokopelli lutte pour la Libération des Semences et de l’Humus. Nous nous engageons, présentement, à faire des recherches et à établir des protocoles au bénéfice des jardiniers afin de les aider à vivre et àcontinuer de jardiner dans un monde contaminé par la radioactivité. Toutes nos fiches techniques seront présentées sur le site ou sur le blog de l’association.

giovedì 28 aprile 2011

La NISA da i numeri di Fukushima

AIPRI, 28 aprile 2011

La NISA da i numeri di Fukushima

L’agenzia nucleare giapponese (NISA) stima ora a 1,3E17 Bq (130 PBq; 3,5 milioni di Curie) i rilasci atmosferici di cesio 137 avvenuti fino alla prima settimana di aprile a Fukushima. In breve, passando da 1,8 kg a 40 kg di Cesio 137 moltiplica per 22 la sua precedente valutazione. Il record dei 27 kg di cesio 137 sparpagliati nella natura da Chernobyl è di gran lunga sorpassato e i rilasci radioattivi non sono tutt’ora finiti e non finiranno prima di mesi e mesi… Considerato che il Cesio 137 non è che uno dei tanti elementi immessi nell’atmosfera ed in assenza di dati, censurati dalla Tepco- su probabile richiesta dei governi premurosi di stimolare l'economia oncologica- su questi altri elementi particolarmente radiotossici come lo stronzio, il plutonio e l’americio riproponiamo qui aggiornata ai nuovi dati la nostra cosidetta proiezione “Chernobyl”. In questa proiezione si considera che a Fukushima gli elementi sono usciti e stiamo uscendo nelle stesse note proporzioni di Chernobyl. Come a Chernobyl per queste stime teoriche abbiamo considerato che lo Sr90 è "in uscita" 8,4 volte meno attivo del Cs137, che il Pu239 è "in uscita" 2833,33 volte meno attivo del Cs137, ecc. come riportato nella tabella “Chernobyl” sottostante. Complessivamente i rilasci, per questi elementi, ammonterebbero a 6,44 milioni di Curie (2,38E17 Bq) per circa 75,8 kg di materia. Non dubitiamo minimamente che anche questa sia una sottostima vistosa... seppure considerando che Fukushima a fino all'inzio aprile possa aver rilasciato già 1,5 più radioattività (16721 PBq, 452 milioni di Curie) che Chernobyl (10933 PBq, 295 milioni di Curie) integrando alla proiezione tutti gli altri elementi notificati per la centrale Ucraina come nella seconda tabella Chernobyl qui sotto.




PS. Ricordiamo che secondo le norme ufficiali dell'AIEA alla quale hanno sottoscritto gli stati che il deposito di 175 milligrammi di Cesio 137 in un chilometro quadro obbliga all'evacuazione del suddetto territorio. Quante volte ci sono 175 milligrammi in 40 chili ?




Help Faymann's anti-nuclear crusade

Citizens' initiative to help Faymann's anti-nuclear crusade

EurActiv, 28 April 2011
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The Chancellor of Austria, Social Democrat Werner Faymann, joined anti-nuclear activists on Monday (25 April) to call for a public campaign to eliminate nuclear power in the European Union. His aides now say the Chancellor hopes to mobilise public opinion to prompt the launch of a European Citizens' Initiative.

Background

Nuclear power accounts for just under a fifth of electricity generation in the EU, but over 75% in France. France is second only to the United States in terms of nuclear power generation.

The recent Fukushima disaster in Japan and the 25th anniversary of the Chernobyl disaster in Ukraine have reinvigorated the global anti-nuclear movement and raised questions regarding the safety of nuclear energy. Italy recently decided not to resume nuclear energy production and Germany has accelerated the phasing out of its nuclear reactors.

Advocates of nuclear energy – which include prominent environmental activists such as Briton George Monbiot – argue the risks are manageable, and that it can provide significant benefits for Europe's energy independence and reduce carbon emissions.

The EU institutions have been staunchly pro-nuclear since the signing of the treaty establishing the European Atomic Energy Community (Euratom) in 1957. Euratom remains legally separate from the European Union, and the European Parliament has little say on its operations.

The treaty – to which all EU member states are party – commits its signatories to "create the conditions necessary for the development of a powerful nuclear industry," which represents an "essential resource for the development and invigoration of industry and will permit the advancement of the cause of peace".

The EU institutions are currently financing nuclear projects in Romania and Bulgaria, as well as the experimental fusion reactor ITER in the south of France. The latter has faced criticism from MEPs for its mounting cost overruns.

More on this topic

"The nuclear power lobby has more money than we do, it has more financial resources than we do, but we want to create a humane future without nuclear energy in Europe!," Faymann reportedly said, speaking at an anti-nuclear protest in Vienna.

The development comes amid large worldwide protests marking the 25th anniversary of the Chernobyl disaster. These included some 120,000 protesters across Germany and a so-called "die-in" in Strasbourg on the Franco-German border.

The chancellor's spokesperson, Leopold Szemeliker, told EurActiv that the aim was to mobilise public opinion in Europe against nuclear energy, which could "lead in the direction of a citizens' initiative".

The European Citizens' Initiative allows EU citizens to propose legislation if one million signatures are collected, and the mechanism will be valid from 1 April 2012.

Szemeliker was confident that such an initiative on nuclear energy would be legally valid, a necessity if it is to be recognised by the European Commission, saying "we're working on that, we're quite sure that we will find a possibility".

Szemeliker said the initiative would be a significant "political instrument" in showing that "a majority of people all over Europe have a different opinion from that of the majority of governments".

A special Eurobarometer poll on nuclear safety published in February 2007 – long before the Fukushima disaster – revealed that a majority 53% of Europeans believe "the risks of nuclear power outweigh its advantages".

The EU has limited competency in determining the energy policies of member states and so persuasion, rather than a central decision, will be key to anti-nuclear campaigners' success.

Szemeliker added that the German Social Democrats would join them in the effort and they also plan to work with environmental NGOs, as well as with convinced anti-nuclear political parties across Europe.

Energy grid integration needed for renewables

Fabian Zuleeg, a senior analyst at prominent think-tank the European Policy Centre, argued that moving away from nuclear towards renewable energy sources would pose significant challenges to the EU.

"If we want to use renewables to that extent, we will need a much more integrated energy grid," he said, adding that energy policy could not remain a purely national issue, as many nuclear power stations are located near national boundaries.

Meanwhile, climate change and energy dependence transcend national borders, he added.

Abolish Euratom?

Environmental groups have expressed satisfaction with the Austrian move, as well as the general turn against nuclear energy in Europe.

Patricia Lorenz, an anti-nuclear campaigner with Friends of the Earth, suggested anti-nuclear governments should raise the question of the abolition of the European Atomic Energy Community (Euratom).

She noted that any Citizens' Initiative had to be carefully formulated to be legally valid and called for an intergovernmental conference to abolish Euratom. "Now that there's no majority for nuclear anymore it can be discussed, I think it's high time to do so," she said.

She argued Euratom currently served "no purpose" but that pro-nuclear countries, notably France and Finland, clung to the organisation for symbolic reasons. "It's more that they fear the signal: 'The nuclear age is over'. Well it is a bit over!" she said.

Any change to European nuclear policy needing a treaty seems unlikely, however. Last September, responding to questions on financial and monetary reform, Faymann himself said that "all measures that would require treaty change I find – thinking back to the Lisbon Treaty – hard to imagine in the next two years".

Next Steps

  • 1 April 2012: First European Citizens' Initiatives can be registered.

domenica 24 aprile 2011

The Last Samurai - Fukushima Daiichi Nuclear Plant Workers

04/24/2011 11:49:00 AM EST

The Last Samurai - Fukushima Daiichi Nuclear Plant Workers Sacrifice Their Lives: An Occupational Medicine Overview of Radiation Exposure and Acute Radiation Syndrome

Physicist Michio Kaku has been outspoken about the Fukushima Daiichi Nuclear Plant disaster. Recently on Real Time with Bill Maher, he said “If we keep on releasing radiation into the atmosphere, I say, call out the military and just bury the sucker”, entombing it in tons of cement. Kaku compared the Japanese workers at the Fukushima plant to samurai in that they have accepted this suicide mission to sacrifice their lives for their country. Some of the workers say they expect to die within weeks or months. What exactly will these workers experience in terms of radiation exposure? The following medical information was excerpted from Occupational Injuries and Illnesses (LexisNexis).

Radiation Sickness: An Overview of Acute Radiation Syndrome

Most deaths following radiation exposure are due to the radiation-induced illness known as acute radiation syndrome (ARS). ARS usually occurs following external whole-body irradiation. The course of ARS is affected adversely by age, impaired health and nutritional status, concomitant illness or injury, especially infection, and other factors. ARS is not a single syndrome but composed of three or four sequential subsyndromes, dominated by hematologic, gastrointestinal or cardiovascular and central nervous system symptoms, with one subsyndrome blending into another as cell death and tissue depletion are expressed.

Measurement of Dose and Exposure

A variety of instruments can detect and measure radiation reliably and accurately. Radiation detection instruments measure the number of ion pairs that are formed as radiation is absorbed by air or solid matter. The traditional terms rad (radiation absorbed dose) and rem (roentgen equivalent man), used to measure and express the dose of radiation received by body tissue, have been largely replaced in the scientific literature by the terms gray (Gy) and sievert (Sv). The units used to express doses of ionizing radiation are complicated, because the two systems are currently being used interchangeably. The so-called “special units” (rad, rem) are still used in the United States, but the SI (Systeme International) system using gray and sievert is preferred internationally.

Clinical Effects of External Radiation

External exposure from radiation sources located outside the body may also involve contamination of the skin with radioactive material and internal deposition of radionuclides. Mixed exposures can occur when the integrity of a sealed radioactive source or equipment containing radioactive materials is broken. The radiation doses from the two types of exposure are additive. The onset of symptoms usually begins with a prodromal (symptoms indicating onset of disease) phase of nausea and vomiting, which can begin within minutes to hours of exposure. It subsides over a few hours.

The median lethal dose for humans is estimated to be about 4.5 Gy if victims are hospitalized and receive supportive care. Doses in excess of 20 Gy produce central nervous system (CNS) symptoms that occur immediately after exposure and include headache, mental status aberration, prostration, vertigo, tinnitus (ringing in the ears), and sensory and motor changes. If the individual has been exposed to a nonuniform dose and the gastrointestinal and hematopoietic systems have been spared, there is a chance for recovery after resolution of the CNS symptoms. However, if more than 20 Gy of whole-body exposure occurs, fulminating gastrointestinal and CNS symptoms will ensue, and in all instances, the outcome is fatal. With whole-body exposure of more than 10 Gy, fatality is still nearly 100 percent unless bone marrow transplantation is performed. Death comes from hematopoietic system complications if the patient survives CNS and gastrointestinal system involvement.

Hematopoietic Syndrome

In doses from 1 to 5 Gy, the hematopoietic syndrome occurs as all blood stem cells—particularly lymphocyte and granulocyte precursors as well as thrombocyte and red blood cell precursors—are depleted owing to radiation-induced cell death. The main effect is pancytopenia (simultaneous decrease in the number of red cells, white cells and platelets) leading to death from sepsis aggravated by hemorrhage. Because of the white blood cell depletion, there is immune system dysfunction and decreased ability to fight infection. Recovery may take months or years, but generally, with modern treatment methods, most persons in this dose range survive, barring other complicating factors.

The absolute lymphocyte count 48 hours after exposure is a good predictor of hematopoietic involvement. If the absolute lymphocyte count is greater than 1,200, it is unlikely that the patient has received a fatal dose of radiation. If the absolute lymphocyte count falls to between 300 and 1,200 at 48 hours, the possibility of exposure to a lethal dose of radiation should be suspected.

Gastrointestinal Syndrome

The gastrointestinal syndrome is considered to occur at exposures between 6 and 30 Gy. Although the gastrointestinal stem cells are targeted for radiation, the lymphocytes are also affected. As the crypt cells are destroyed, the mucosal lining of the intestinal microvilli, which is normally shed every three to five days, is sloughed. Microvilli shorten, mucosal integrity is compromised, pooling of the microvasculature into cisternae occurs, and severe mucosal hemorrhage, exudation and ulceration result. In addition, hypersecretion of cellular fluids into the lumen occurs, which can result in fluid and electrolyte imbalances. Paralytic ileus occurs. Absorption of nutrients is impaired. With the disruption of the mucosal barriers, bacterial translocation of pathogenic aerobes and anaerobes increases; colonization of the liver occurs, and the risk of sepsis is greatly enhanced.

Absorbed radiation doses between 6 and 20 Gy are fatal even if gastrointestinal lesions heal, because bone marrow exposure is lethal. Death usually occurs from 3 to 21 days following exposure.

Cardiovascular /Central Nervous System (CNS) Syndrome

Cardiovascular/CNS syndrome is characterized by deteriorating consciousness, respiratory depression and increased vascular permeability. The prodromal symptoms are followed by ataxia (inability to coordinate voluntary muscles), prostration, sweating and shock. Extremely large doses of radiation result in rapid death due to general cardiovascular and neurologic dysfunction. Absorbed radiation doses of more than 2 Gy are rapidly and inevitably fatal within 24 to 48 hours.

Skin Burns

Radiation skin burns may occur from direct contact with a high-level radioactive source or exposure to an intense field or beam of x-rays, gamma rays, neutrons or electrons. Exposure to such high sources is not always immediately recognized; suspicion of radiation must be high if burn like pain or a skin burn is present without a known accident or event.

Development of radiation burns can occur at a much slower rate (days) than thermal burns. Clinical signs of acute radiation burn are erythema (first-degree), transepidermal injury (second-degree) and full-thickness burns (third-degree). Erythema, which is often difficult to identify in the first week, becomes more prominent in the second week. Skin response to irradiation varies according to the type and energy of the radiation as well as to amount of surface area irradiated.

Diagnosis

The person who is accidentally and highly exposed to ionizing radiation is often aware—or suspects—that the exposure has occurred and seeks medical attention for this reason. The presenting symptoms may be diverse, making diagnosis more difficult when there is no history or suspicion of radiation exposure,. Different radiation accident cases have been initially diagnosed as flu (nausea, vomiting), gastroenteritis, mumps, skin ulceration, burns and bone-marrow depression.

In many instances, the radiation dose must be measured from its biologic effects, because at the time of exposure, the person was not wearing a monitoring device that could measure radiation. The earliest indicator is the absolute lymphocyte count, which is a relatively accurate estimator for doses up to 3 Gy. With exposures greater than 3 Gy, peripheral granulocyte analysis is a more accurate estimator.

Treatment

Treatment of radiation injuries varies according to whether there has been whole-body or partial exposure, internal or external exposure, or a combination of both; the type of radiation; and the duration of exposure. Hemorrhage, shock, damage to the airway and other life-threatening injuries should be managed at the scene in the usual fashion.

Infection Control

Most patients who die from radiation injury, except those involved in high-dose nuclear criticality accidents, die of sepsis (systemic infection). Eliminating or reducing all possible sources of infection, either environmental or from the patient, is imperative.

Since the immune system is depressed due to the effects of exposure, there are greater risks for colonization of the respiratory tree. Wound contamination, including colonization of eschar (the crust that forms over a thermal burn wound) and nondebrided necrotic tissue, and intestinal colonization become even greater risks in the irradiated patient. Invasive monitoring and therapeutic devices, particularly if they are in-dwelling, also pose greater risks.

Control of bacterial translocation from an irradiated gastrointestinal tract into the systemic circulation, with subsequent sepsis, presents a unique set of problems. Clean drinking water is mandatory. Paralytic ileus (obstruction of the bowel from paralysis of the bowel wall) and decreased absorption of nutrients may prompt consideration of total parenteral nutrition, although this increases the risk of infection from the catheter.

Maintenance of normal gastrointestinal flora and selective decontamination of enteral pathogens is desirable.Anovel (in the United States) method of gastrointestinal pathogen suppression is the deliberate installation of nonpathogenic bacteria (probiotics) into the gut. Selected strains of Lactobacillus and Bifidobacteria have been shown to increase survival rates and prolong survival in animal studies.

Whole-body radiation and localized abdominal radiation are known to alter the intestinal ecology, decreasing the numbers of anaerobes and increasing the number of aerobic and facultative organisms. Administration of these probiotics normalizes the intestinal flora (Reeves, 1999). Immediately upon detection of fever in an irradiated neutropenic patient, cultures of body fluids, skin lesions and orifices as appropriate should be done; a review of the local hospital patterns of nosocomial (infection originating in a hospital) infections is in order. Broad-spectrum antibiotic coverage should begin promptly.

Prognosis

For low-dose levels of radiation exposure, the biologic effects are so small that they cannot be measured accurately. Higher accumulated doses of radiation, though they are not immediately fatal, may result in carcinogenesis, cataracts, genetic mutations and other effects that may not be apparent for many years following exposure. The table below summarizes the effects of various doses on an individual due to radiation accidents or nuclear war:

Effects of Radiation Doses

< 50 rads (< 0.5 Gy) Generally no clinical effect; subject asymptomatic.

50-100 rads (0.5-1.0 Gy) Mild nausea; white blood cell count (WBC) increases, then decreases.

100-200 rads (1-2 Gy) Nausea and vomiting; fatigue; WBC increases, then decreases.

200-400 rads (2-4 Gy) 2 to 3 days of nausea and vomiting, fatigue, WBC and platelets decreased; epilation, diarrhea, bleeding; recovery period 1-3 weeks.

300-500 rads (3-5 Gy) Lethal dose to 50 percent of the people exposed.

400-600 rads (4-6 Gy) Severe nausea, vomiting and diarrhea, sore throat, WBC and platelets decreased, symptoms recur, hemorrhages; recovery period brief or absent. Death to most in < 30 days.

600-1,000 rads (6-10 Gy) Severe and continuing nausea, vomiting and diarrhea; death to most in 1 to 10 days.

> 1,000 rads (> 10 Gy) Severe illness, disorientation, ataxia, burning sensation, shock; all die, most in 10 to 36 hours.

Source: Fowler, J.: Biological Effects of Radiation. In: Wilson, M. (Ed.): Textbook of Nuclear Medicine. Philadelphia: Lippincott-Raven, 1998)

© Copyright 2011 LexisNexis. All rights reserved. Parts of this article were excerpted from Occupational Injuries and Illnesses (LexisNexis).

venerdì 22 aprile 2011

The People Who Brought You Fukushima

Counterpunch, Weekend Edition
April 22 - 24, 2011

Same Old Tricks From the Nuclear Gang

The People Who Brought You Fukushima

By SAUL LANDAU and JACK WILLIS

For 60 years the nuclear industry has promised the world cheap, safe and clean energy. As the Japanese government continues to extend its nuclear evacuation zone and with the eerie glow of the Fukishima plant as background, the pushers of nuclear power – including the President – still demand subsidies for new plants of Congress. As another Chernobyl-size disaster looms, the energy-fixated “problem solvers” continue to suffer from both temporary blindness and long-term amnesia – ignoring or down-playing the history of nuclear “mishaps.”

Behind the push for this “clean” (no fossil fuel emissions) energy source, lies a deeper motive. Would you believe money? In 2009, the government subsidized the nuclear industry with $18.5 billion, which did not cover unanticipated costs of “the next generation of plants.” The Nuclear Energy Institute – euphemism for industry trade group – now wants $20 billion more in loan-guarantees “to kick-start the long-awaited industry revival.” (Jim Snyder, The Hill June 21, 2009)

Before re-funding the nuclear gang, Members of congress might look deeper into and also beyond the current catastrophe. The Congressional Research Service could provide them with reports of some of the numerous U.S. nuclear accidents.

From the 1950s on, for example, “thousands of workers were unwittingly exposed to plutonium and other highly radioactive metals at the Department of Energy’s Paducah Kentucky Gaseous Diffusion Plant. Workers … inhaled radioactive dust while processing the materials as part of a government experiment to recycle used nuclear reactor fuel.” (Washington Post, August 22, 1999)

In July 2000, wildfires near the Hanford facility hit highly radioactive waste disposal trenches, raising airborne plutonium radiation levels in nearby cities to 1,000 times above normal.

Compare those “little accidents” (multiply by a thousand) with the Chernobyl and now Fukishima catastrophes or with those who got cancer from the Three Mile Island (Pennsylvania) “mishap.”

The government nuclear agencies have shied away from doing the long-term studies of the impacts of low-level radiation. Indeed, in the 1970s they de-funded a study under the guidance of University of Pittsburg scientist Dr. David Mancuso when it became apparent he would find that the “precautions” taken were insufficient, and that low-level radiation (at government levels) had deleterious affects on human health.

The government did no health follow-up after the numerous “little” leaks, fires and “mishaps” that occurred routinely at the Rocky Flats plutonium trigger and Hanford nuclear weapons installations. Oh, they did at least check the radiation badges of the employees.

In 1981, we made a Public Television documentary: “Paul Jacobs and the Nuclear Gang.” In it, we documented how government officials obfuscated their failure to provide, as they promised, “cheap, safe and clean” energy and safe work environments in and around nuclear weapons facilities.

Jacobs had earlier reported on how the Atomic Energy Commission (AEC) and its successor three-letter agencies lied about, distorted, and then classified (thereby withholding) reports on the health impact of low level radiation.

One example provided in the film was Sergeant James Gates, who described how the army positioned men near the blast and had them cover their eyes. Bates said: “the blast threw me 15 feet into the air. It made all of us sick.” In 1978, he had terminal cancer.

Jacobs interviewed “downwinders” – those living in cities directly in the path of nuclear fallout after the Nevada tests. They described how hot hailstones pelted them after the blasts. Jacobs interviewed a man on horseback who told of large tumors growing from his neck right after his exposure.

In the 1950s and again in the early 1970s, Paul Jacobs inspected the government’s claims and then wrote award-winning articles featuring interviews with St. George, Utah residents. In this city directly east of the test site, Jacobs found inordinate numbers of cancer cases and a nuclear-nervous public. (“Clouds from Nevada,” The Reporter, May 16, 1957; (“Precautions Are Being Taken By Those Who Know,” The Atlantic, Feb. 1971)

In the film, Jacobs described how he surreptitiously acquired a classified document from a Public Health office in Las Vegas that revealed the Atomic Energy Commission knew “low-level radiation” constituted serious health hazards. Later, he found de-classified internal memos indicating why the government classified the health report: to keep the public from having to choose between nuclear tests and getting cancer.

In 1977, Jacobs’ doctors and his friend Linus Pauling (a chemistry Nobel prize-winner) concluded that Paul (a non-smoker) developed lung cancer during his exposure to “low level radiation” around the Atomic Test Site.

After 74 years, the evidence would lead one to conclude that “cheap safe and clean” sounds more like a condom ad than a believable promise from the nuclear gang. The public should think of two words that have been uttered in nuclear plants when “mishaps” occur. “Oops” and “duh.” And remember, there’s at least one Homer Simpson.

Radiazioni e decontaminazione

Radiazioni e decontaminazione
di Marcello Pamio - 21/04/2011

Fonte: Disinformazione [scheda fonte]

Le centrali atomiche sono fabbriche pericolosissime che producono atomi radioattivi - di solito dall’Uranio e dal Torio - e grandi quantità di calore.
Un impianto nucleare, usa il calore generato dalla decomposizione radioattiva per far bollire l’acqua, i cui vapori serviranno a mettere in moto delle turbine e produrre energia elettrica. Si tratta del modo più costoso, rischioso, assurdo e ignorante per produrre energia!
Se l’assorbimento del calore, per un qualsiasi motivo, viene meno, le barre di uranio si surriscaldano e possono esplodere o fondere, esattamente quello che è accaduto a Chernobyl e ultimamente nella centrale di Fukushima in Giappone.

L’immenso spreco di acqua
Una piccola centrale da 1000 MWatt (1 GWatt) ha bisogno di 1.800.000 litri di acqua ogni minuto, cioè 30.000 litri al secondo, circa un terzo della portata del nostro Po, solo per raffreddare i reattori.
Questo è il motivo per cui le centrali vengono costruite vicino a fonti di acqua fresca: mari, laghi e fiumi.
In Francia, il 40% di TUTTA l’acqua consumata in un solo anno viene usata per raffreddare i propri reattori nucleari!

Nonostante lo spreco incredibile di acqua, a livello ufficiale si propaganda esclusivamente il basso costo per kilowatt di energia prodotta dal nucleare, nessuno calcola i costi e i danni irreparabili ed irreversibili all’ambiente e agli esseri umani delle emissioni radioattive. Se infatti si considerassero i danni all’ecosistema e le malattie indotte dalle radiazioni (leucemie, tumori, malformazioni, sterilità, impotenza, ecc.) l’energia nucleare risulterebbe essere antieconomica, antiecologica e antiumana!
A 25 anni di distanza da quel sabato 26 aprile 1986, giorno dell’incidente accaduto alla centrale di Chernobyl in Bielorussia, si continuano ancora oggi a contare i morti, anche se il loro numero rimane un mistero!
L’Onu, irriverentemente, parla di 65 morti e forse 4000 presunti, mentre Greenpeace denuncia almeno 200.000 sicuri e circa 6 milioni di morti nei prossimi decenni. La triste e amara realtà è che oggi stiamo ancora pagandone le conseguenze.

Il terremoto in Giappone
La realtà giapponese è forse anche più grave: un reattore è andato in fusione producendo un inquinamento radioattivo pesantissimo. Le notizie sono frammentarie, e come sempre, non sapremo mai con esattezza l’entità dei danni e soprattutto dei rischi per gli esseri umani.
Certamente il fallout radioattivo, cioè la ricaduta delle particelle radioattive non riguarderà il Sol Levante, ma l’intero pianeta. Grazie alla circolazione di venti che distribuiscono gli inquinanti in tutta l’atmosfera, grazie alle correnti atmosferiche, oceaniche, le circolazioni idriche sotterranee, le alghe, pesci, uccelli, ecc. la radioattivià giungerà nel continente americano prima ed europeo poi.

Nonostante le rassicuranti parole degli esperti, dei testimonial pubblicitari, dei noti oncologi televisivi, dei governi e naturamente dei loro mentori (lobbies dell’energia e del cemento) le centrali atomiche sono pericolosissime.
Ricordiamo Chernobyl e pochi altri, ma secondo il Sipri, l’Istituto svedese per le ricerche pacifiche) dal 1945 fino al 1986 gli incidenti nucleari seri sono stati 160.[1] Secondo il Chemical and Engineering News, fino al 1977 gli incidenti nucleari statunitensi si aggiravano intorno ai 10.000![2]

L’attuale disastro ambientale del Giappone è solo l’ultimo in ordine cronologico e sembrerebbe molto più grave di quello avvenuto 25 anni fa.
La d.ssa Helen Caldicott, ex fisico dell’Università di Harvard e super esperta nucleare, ha descritto il disastro di Fukushima come una “catastrofe assoluta”, parecchie volte peggiore di quella di Chernobyl, anche perché la centrale giapponese contiene 30 volte le radiazioni di quella russa. Continua la d.ssa Caldicott denunciando che “Il mondo ora sta pagando - e pagherà comunque vada la crisi di Fukushima. Un prezzo salato per l’arroganza e l’avidità che hanno alimentato la loro voglia di costruire sempre più reattori. Facendola bere a politici ingenui, spingendo sui media, e portando una gran parte del pubblico a pensare che il nucleare sia una soluzione ‘verde e pulita’ per il problema del riscaldamento globale, l’industria nucleare ha costruito strutture in modo improprio, con poco o nessun riguardo per le norme di sicurezza, e lo hanno fatto spesso con il nulla osta delle autorità di governo”.[3]

Cosa si può fare per ridurre i rischi di eventuali contaminazioni radioattive?
Per proteggersi e difendersi da qualche cosa è importante comprendere e conoscere il nemico.
E’ doveroso a questo punto ricordare che non molto si può fare contro le subdole e penetranti radiazioni nucleari, ma certamente ridurne i danni è assai importante.
Altra cosa estremamente utile è in questo periodo, non farsi prendere dal panico e dalla paura, perché tali emozioni giocano un ruolo deleterio bloccando e paralizzando le coscienze.

Cos’è la radioattività
La radioattività è una violenta espulsione di microscopici ammassi di energia o particelle elettriche da parte di nuclei non stabili che si trasformano in altri emettendo particelle. Le particelle espulse si dicono ionizzanti perché rendono instabili le strutture di altri atomi, in cui si imbattono.
La ionizzazione può interessare l’aria, l’acqua, le pareti di una casa, la macchina e anche un organismo vivente come l’uomo e l’animale.

I radionuclidi
Si dicono radionuclidi o radioisotopi tutti quegli atomi che emettono radiazioni Alfa, Beta e Gamma.
Sono sempre presenti nell’atmosfera intorno alle centrali nucleari o dopo una esplosione atomica.

Ufficialmente si conoscono sedici radionuclidi:
Kripto-88, Stronzio-89-90-91, Yttrio-91, Zirconio-95, Molibdeno-99, Rutenio-103-106, Tellurio-127-129-131-132, Antimonio-127-129, Iodio-129-131-132-133-135, Cesio-134-136-137, Bario-140, Lantanio-140, Cerio-141-144, Nettunio-239, Plutonio-239, Curio-242.

Questi radioisotopi hanno un tempo di dimezzamento[4] molto diverso.
Per esempio lo Iodio-132 ha un tempo di dimezzamento di sole 2,4 ore, mentre il Plutonio-238 di 87,7 anni, per arrivare al Plutonio-239 che si dimezza in circa 24.100 anni.
In quanto ionizzanti sono tutti estremamente pericolosi per la salute umana, ma quelli che più interessano dal punto di vista salutare sono: Iodio 131, Cesio-137 e Stronzio-90.
Proprio i radioisotopi che vengono liberati da disastri nucleari e da esplosioni atomiche.

Radiazioni Alfa
Gli elementi che emettono Raggi Alfa sono: Plutonio-239, Uranio-233, Radio-226, Radon-222 e Polonio-210.
La radiazione Alfa, essendo di carica positiva, quando colpisce un organismo vivente, viene attratta da un organo o un apparato avente carica opposta, cioè negativa.
I danni possono essere semplici infiammazioni, necrosi o ustioni che colpiscono sia le cellule che le terminazioni nervose.
Gli organi più esposti alle radiazioni Alfa sono gli occhi e le orecchie, ma anche il cranio e i nervi cerebrali.
Tali radiazioni per fortuna hanno una penetrazione molto limitata e infatti basta coprire la pelle con indumenti spessi per proteggersi.
Risulta utile fare frequenti docce per lavare la pelle usando saponi all’argilla o alle alghe, mentre internamente la protezione si ottiene con assorbenti fitici e alginici (cereali integrali e alghe e loro estratti), anche l’argilla verde ventilata è un ottimo assorbente.

Radiazioni Beta
Gli elementi che emettono radiazioni Beta sono: Cesio 136-137, Iodio-131, Rutenio-106, Stronzio-89-90, Yttrio-90, Kripto-85, Zinco-65, Cobalto-60, Potassio-42, Fosforo-32, Carbonio-14.
Le radiazioni Beta sono molto più penetranti delle Alfa e quando entrano nell’organismo creano microscopiche ustioni, alterano i campi magnetici biologici, inattivano enzimi e vitamine, infiammano e indeboliscono l’apparato sessuale, fanno cadere i capelli e danno senso di stanchezza.
Quando un raggio Beta colpisce l’organismo è come un fulmine che si scarica sulle pareti delle arterie, sulla pelle, ustionando e lesionando.
Una buona difesa dalle radiazioni Beta, come vedremo alla fine del presente articolo, si ottiene con l’argilla verde ventilata e gli assorbenti alginici (alghe) e acidi fitici (cereali integrali).
Inoltre l’uso alimentare di fermentati, che stimolano tutte le ghiandole ormonali, è molto efficace sia come decontaminante che come ristrutturante nei punti colpiti dalle radiazioni.

Radiazioni Gamma
Gli elementi che emettono raggi Gamma sono: Cesio-137, Iodio-131, Kripto-85, Zinco-65, Cobalto-60, Potassio-40-42.
I raggi Gamma, della stessa natura dei raggi X delle radiografie, non sono corpuscoli ma ammassi di energia radiante: onde elettromagnetiche a piccola lunghezza d’onda e perciò molto penetranti da oltrepassare una lastra di piombo di 22 mm di spessore!
I raggi Gamma attraversano l’organismo umano come la luce attraversa il vetro di una finestra e possono provocare serie alterazioni strutturali dell’equilibrio elettrico cellulare; cedere per esempio energia a un elettrone libero facendolo diventare un pericoloso raggio Beta.
La difesa sta nella presenza continua di alginati, fitati, argilla e minerali come calcio, magnesio, potassio e sodio e in un apparato digerente forte e sano.

Iodio-131
Questo radionuclide è molto preoccupante per la salute per via della sua rapidità di assorbimento e immediata concentrazione nella tiroide. Si deposita inoltre nel fegato e ghiandole sessuali.
La tiroide negli esseri umani ha bisogno di Iodio per sintetizzare gli ormoni tiroidei e assume questo importante minerale dagli alimenti e in misura minore dalla respirazione[5].
Quando la concentrazione dello Iodio, a causa di una nutrizione non corretta, è scarsa, la tiroide diventa particolarmente avida di questo minerale e quindi lo accumula rapidamente appena lo riceve dal sangue.
Se a seguito di un indicente nucleare la concentrazione del radionuclide Iodio-131 nell’aria, terreno, alimenti, aumenta, questo viene assorbito istantaneamente nella tiroide stessa, raggiungendo dosi elevatissime.
Lo Iodio radioattivo nella ghiandola è in grado di provocare seri processi infiammatori e tumorali.
La tiroide accumula Iodio in maniera inversamente proporzionale alla sua massa: tiroidi più piccole, come nei bambini, accumulano maggiormente Iodio-131 rispetto le tiroidi grandi degli adulti![6]
Il periodo di latenza medio fra l’esposizione alle radiazioni e la diagnosi di patologia tiroidea è di circa 4-5 anni. I più frequenti tumori tiroidei infantili causati da un disastro nucleare sono i carcinomi papillari, mentre lo stato pre-tumorale è rappresentato dall’iperplasia micropapillare.[7]
Il tempo di dimezzamento biologico dello Iodio-131 è di 138 giorni, ma il suo dimezzamento fisico (cioè il tempo che l’organismo impiega per eliminarne la metà) è di soli 8 giorni.
La sostanza alimentare che ne viene impregnata in modo maggiore è il latte, mentre se non sono state irradiate, le varie crocifere (cavolo, verza, ecc.) stimolano l’aumento del glutatione che è uno dei migliori “spazzini” biologici dei radicali liberi.

Cibi naturali che contengono Iodio organicato e prontamente assimilabile (mg/100gr di alimento)
Zucca 0,062 mg, anguria 0,040 mg, cetriolo 0,037 mg, spinaci crude 0,036 mg, asparagi 0,030 mg, rape e bietole 0,025 mg, mirtilli 0,020 mg, arachidi 0,020 mg, fragole 0,019 mg, carciofi 0,018 mg, melanzane 0,017 mg, pesche 0,016 mg, banane 0,012 mg, carote e patate 0,012 mg ecc.[8]

Cesio-137
Il Cesio viene assorbito a livello intestinale in modo rapidissimo e la sua struttura chimica è molto simile a quella del Potassio, quindi viene utilizzato dall’organismo per “riempire” le cellule (visto che all’interno delle cellule c’è il Potassio e fuori il Sodio). La conseguenza è che la sua maggiore concentrazione si avrà nel muscolo degli animali, quindi nella carne che si mangia.
Il tempo di dimezzamento del Cesio-137 è di 30 anni, ma il dimezzamento biologico (cioè il tempo che l’organismo impiega per eliminarne la metà) è di 110 giorni.
Importantissimo è aumentare nell’organismo la quantità di Potassio organico in modo tale da complicare la vita al Cesio. Ovviamente se c’è poco Potassio nell’organismo, il Cesio potrà piazzarsi più facilmente dentro le cellule, creando seri problemi di salute.

Stronzio-90
Il Cesio viene scambiato per Potassio, mentre lo Stronzio viene scambiato per Calcio e quindi viene assorbito subìto dal’organismo che lo fissa nelle ossa.
Lo Stronzio-90 ha un tempo di dimezzamento fisico di circa 28 anni e mezzo, ma una volta fissato dalle ossa può rimanere lì per tutta la vita. Lo Stronzio si concentra nel latte degli animali quindi si dovrà porre attenzione alle proteine di derivazione alimentare.
A livello intestinale ne viene assorbito circa il 30%, ma importantissimo evitare anche questo minimo assorbimento.
L’acido alginico delle alghe si fissa allo Stronzio e ne impedisce l’assorbimento, mentre l’acido fitico dei cereali integrali aiutano nella fissazione del radionuclide per cui il loro utilizzo può essere di estrema utilità.

Protezione interna: sistema linfatico e ghiandole
Il sistema linfatico è una rete di canali in cui sono inserite le linfoghiandole (nodi linfatici) che servono da filtri: trattengono o distruggono virus, batteri, impurità, ecc.
La linfa inoltre provvede a nutrire le cellule e a raccogliere le sostanze di rifiuto.
Gli organi e ghiandole maggiormente esposte ai radionuclidi sono: fegato, cistifellea, pancreas, milza, reni, polmoni, ghiandole digestive, tiroide, timo, surreni, ipofisi, ghiandole sessuali.
Le radiazioni Beta e Gamma seccano, ustionano e invecchiano i tessuti colpiti.
Lo Iodio-131 si deposita nella tiroide, fegato e ghiandole sessuali, il Cobalto-60 nel pancreas, il Cromo-51 nelle reni e tiroide, il Plutonio-239 nei polmoni e il Potassio-40 negli organi sessuali.

L’importanza della nutrizione
Un regime alimentare vegetariano o vegano crudista, risulta di fondamentale importanza in questa fase, perché fornisce all’organismo enzimi, vitamine, minerali fibre e antiossidanti che aiutano le cellule e il sistema immunitario a proteggersi e a ridurre i danni dei raggi ionizzanti Alfa, Beta e Gamma.
Fornendo grandi quantità di Calcio, Iodio e Potassio organici, essi potranno intralciare i danni del Cesio, Iodio e Stronzio.

Protezione esterna
Le docce come abbiamo detto prima sono molto importanti per lavare via le tossine dalla pelle.
E’ possibile farsi in casa uno shampoo con prodotti decontaminanti:
- 200 gr di shampoo neutro.
- 1 cucchiaino di argilla verde
- 1 cucchiaino di alghe in polvere

Decontaminare frutta e verdura
Lasciare frutta e verdura in ammollo per almeno un ora in acqua contenente 2 cucchiai di argilla e un cucchiaio di alghe.

Perché le alghe hanno proprietà antiradioattive?
Gli acidi alginici dell’alga assorbono e neutralizzano le radiazioni.
Le alghe più assorbenti sono della specie Fucus, seguite dalle Laminarie e dalle alghe rosse.
Gli alginati, sempre contenuti nelle alghe, sono dei chelanti naturali in grado di assorbire i metalli pesanti radioattivi come il Plutonio-239, Uranio-235, Nettunio-239, Curio-242 e altri meno pesanti come il Piombo, Mercurio, Cobalto e Cadmio.
Gli acidi alginici e l’argilla non sono assimilabili dall’uomo, per cui escono senza intossicare il corpo.
Alla Mc Gill University di Montreal si è scoperto negli anni ’60 che l’aginato di sodio presente nell’alga Kelp può ridurre dal 50% all’80% la quantità di Stronzio radioattivo, assorbito attraverso l’intestino. L’alginato di sodio si lega allo Stronzio radioattivo e assieme vengono espulsi attraverso le feci.

Perché l’argilla ha proprietà antiradioattive?
L’argilla è formata da silicati di alluminio idrati al naturale, cioè con proprietà bioregolatrici e assorbenti.
L’alluminio in natura si trova sotto forma di ossido, e come solfato è un purificatore di acque.
L’argilla non è assimilabile per cui viene espulsa dal corpo con le feci.
L’argilla si prende per un brevissimo periodo, mettendo alla sera un cucchiaino (solo di legno, no plastica e neppure metallo) di argilla verde ventilata. Si mescola vigorosamente. Alla mattina bere solo l’acqua buttando via il fondo depositato.

L’importanza dei fermentati
L’azione dei fermentati è quella di attivare naturalmente e al massimo grado la respirazione cellulare e con ciò di interrompere le reazioni dismetaboliche provocate dalle radiazioni.
Il fermentato è un predigerito crudo, ricchissimo di vitamine, enzimi, ormoni e sali minerali prontamente assimilabili.

Ricordo ancora l'importanza di rimanere tranquilli e soprattutto di evitare panico e paura: simili emozioni bloccano e paralizzano le coscienze, complicando il quadro generale.


[1][1] “La decontaminazione radioattiva”, Mercedes Deotto Salimei
[2] Idem
[3]Destroyer of Worlds“ relazione della d.ssa Caldicott del 16 marzo 2011, tratto dall’articolo “Continua in Giappone la disinformazione sul disastro nucleare”, Edoardo Capuano, www.ecplanet.com/node/2384
[4]Tempo di dimezzamento” è il tempo in cui la loro radioattività di dimezza o, detto in altro modo, il tempo che deve trascorrere affinché la metà dei nuclei di un dato radionuclide vada incontro a decadimento.
[5] “Ripercussioni sanitarie in caso di disastro nucleare”, dottor Roberto Gava http://www.informasalus.it/it/articoli/ripercussioni-sanitarie-disastro-nucleare.php
[6] Idem
[7] Idem
[8] “La tiroide e tutto il resto”, Valdo Vaccaro http://valdovaccaro.blogspot.com/2010/04/la-tiroide-e-tutto-il-resto.html


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